Souhaitant passer de plusieurs bureaux à un grand open space pour favoriser les échanges entre collègues, l’entreprise a fait appel à la démarche ergonomique afin de prendre en compte les besoins de chacun dans la conception de ce nouvel espace.
Terrain
Une première ½ journée de travail sur le terrain nous a permis d’effectuer des entretiens au poste et hors poste, et la prise de visuels et de mesures.
Traitement
Le traitement servait ici à analyser l’activité, à préparer l’atelier et une deuxième vague d’entretiens.
Terrain
Introduite par un atelier collectif pour comprendre les attentes du groupe dans l’aménagement global de l’espace de travail, cette phase terrain a aussi permis d’observer le collectif en activité. De nouveaux entretiens face à des modélisations 2D et la mise à disposition d’un carnet de bord ont fait ressortir des éléments de valeur pour les salariés.
Traitement
Les éléments recueillis lors de la phase précédente nous ont amené à comprendre les flux et interactions entre collègues. Une modélisation 3D a pu être faite au regard des contraintes et besoins de chacun.
Terrain
Un dernier atelier collectif a permis de présenter les modélisations 3D finales, et de réajuster avec l’équipe les quelques éléments de divergence. Après validation, un rapport complet sur l’étude a été remis aux responsables pour que la mise en place puisse être faite
Suite à la demande d’un médecin du travail, l’intervention d’un ergonome a été identifiée comme nécessaire afin d’évaluer les aménagements possibles pour un salarié détaché, atteint de multiples pathologies oculaires impactant de plus en plus son activité.
Terrain
1 journée d’analyse de l’activité sur le terrain a permis de comprendre les différentes tâches quotidiennes et habituelles du salarié. Des verbalisations et échanges avec lui ont fait ressortir ses contraintes quotidiennes et astuces pour y répondre.
Traitement
Une veille sur les pathologies et recherche en collaboration avec un signaléticien ont fait ressortir des solutions adaptées aux problématiques du salarié en termes de sensibilisation et aménagement des espaces de travail.
Terrain
La restitution a inclus une partie sensibilisation des collègues du salarié en question, leur permettant de comprendre le vécu du handicap et les difficultés engendrées. Elle a aussi aidé la réflexion sur les aménagements à effectuer pour améliorer les conditions de travail du salarié handicapé.
La dernière étape permet de recueillir les retours sur le parcours et de revenir sur les améliorations à apporter et les fonctionnalités à ajouter pour rendre l’expérience optimale.
Suite à la création d’une maquette pour un de ses clients, l’entreprise nous a demandé de tester l’ensemble des interfaces de cette maquette et de la comparer avec une version antérieure de l’application. Le but était d’avoir un retour très précis sur chacun des écrans testés et ainsi :
Préparation
Après étude des personae du client, nous avons faire ressortir 3 grands profils de testeurs. Nous avons donc établi des parcours avec des missions pour chacun de ces profils.
Terrain
Les tests se déroulaient en 3 étapes. Une première visant à mieux connaitre l’interlocuteur et notamment ses usages en rapport au numérique et à la spécificité du client. A ce moment, des explications concernant le choix de cette personne par rapport aux personae créés en amont étaient données. La deuxième étape amenait le testeur sur l’application en passant par : une navigation libre, 3 missions spécifique, une navigation sur l’ancienne application. La dernière étape permettait de recueillir les retours sur le parcours et de revenir sur les améliorations à apporter et les fonctionnalités à ajouter pour rendre l’expérience optimale.
Traitement
L’analyse a fait ressortir que la majorité des fonctionnalités étaient en adéquation avec les besoins des utilisateurs. L’étude ayant été faite en amont, les quelques modifications nécessaires ont pu être faite avant le lancement de l’application sur les stores
L’entreprise souhaitait trouver des solutions pour améliorer les conditions de travail du personnel ayant pour tâche le contrôle et l’authentification des produits et ceci par le biais de l’aménagement et de l’optimisation des postes. L’objectif final étant d’intégrer les préconisations qui auront été mises en place et testées dans de nouveaux locaux.
Analyse de l’activité et entretien dans l’action avec l’intégralité des salariés concernés par l’étude principale.
Réflexion collective sur les pistes de préconisations lors de groupes de travail
Traitement des données et utilisation de logiciels de calcul d’angulation articulaire
Diffusion d’un questionnaire QVT
Mise en contact et devis provenant de différents fournisseurs de matériels.
Mise en place sur chaque poste des préconisations matériels
Réduction des contraintes physiques liées aux multiples flexion du rachis
L’entreprise souhaitait être accompagner sur des problématiques de port de charge et de postures à fortes contraintes pour la zone lombaire de plusieurs salariés. Deux postes occupées par 4 salariés étaient concernés. L’activité de pesé était effectuée seul où en binôme selon les volumes et le type de produit pesé (poudre – liquide).
Observations, entretiens dans l’action et prises d’images sous des angles spécifiques permettant l’analyse du risque de TMS. Prises de mesures de forces (initiale et maintien) lors de déplacements de charges lourdes.
Des entretiens individuels
Atelier de co-création des pistes de préconisations avec les acteurs concernés.
Nos préconisations se sont orientées vers des solutions materiel réduisant les hauteurs de préhension en dehors des zones de confort préconisées ainsi que supprimant quelques actions présentant des risques d’accidents du travail.
De plus nous avons permit une amélioration de l’organisation de recherche des produits.
L’étude à comparer des risques d’apparition de troubles musculo-squelettiques (TMS) chez des soignants lors des poses de changes au sein d’établissements hospitaliers pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). 4 types de changes étaient comparés sur 5 soignants expérimentés et aux morphologies différentes, dans 2 établissements différents.
Terrain
Afin d’avoir de données quantitatives dans un espace temps restrein, nos observations se sont centrées sur cinq personnes, toutes soignantes expérimentées, sur deux établissements différents. 166 changes ont été être observés avec la méthode décrite ci-après :
Prises d’information
Traitement
Calcul du coût cardiaque, mesure des angulations articulaire et temps de maintien avec un couplage vidéo.
Traitement du questionnaire et des données recueillies.
Traitement statique des données tirées de l’activité physique liée à la tâche et des remarque in situ qui ont été émises.
L’entreprise a souhaité l’intervention d’ergonomes suite à des plaintes et des interrogations quant à l’exposition de certains postes aux troubles musculosquelettiques. La demande s’est alors portée sur un diagnostic général de l’entreprise et des études spécifiques concernant les postes les plus à risques.
4 jours d’analyse de l’activité sur l’ensemble des postes concernés par le diagnostic.
• Observations
• Verbalisations
• Prises de mesures (ambiances physiques – pousser/tirer – dimensions des espaces de travail)
• Traitement des données, modélisations 3D, mesures d’angulations et calculs de forces.
Propositions d’aménagements matériels et organisationnels pour favoriser la communication active entre les différentes strates de l’entreprise.
Aménagement des postes de travail les plus contraignants physiquement.
Suite à une croissance de l’activité et un besoin d’espace supplémentaire, la société avait besoin de revoir l’aménagement de ses locaux. Le but étant de structurer les exigences liées à l’activité des salariés dont l’organisation prend une part importante.
Terrain
½ journée de travail sur le terrain nous a permis de recueillir les données nécessaires à l’étude. Il était composé de 30 minutes d’entrevue avec les salariés (5 en tout), et de prises de mesures afin de modéliser au cm près les espaces et les objets les composant. Elles ont été faites au mètre laser pour avoir une mesure précise des grands espaces.
Traitement
Une phase de traitement a permis de faire ressortir les contraintes et besoins des salariés pour effectuer leur travail dans les meilleures conditions. Elle a mené à une modélisation 3D de l’espace de façon optimale afin de gagner en temps, en espace, en charge mentale et en qualité.
Terrain
Un premier retour avec le gérant et les salariés a fait ressortir de légères modifications à effectuer pour le confort des salariés présent dans l’espace tertiaire. Des retouches en direct ont permis de voir les compromis acceptables pour chacun.
Deux nouvelles modélisations 3D ont été proposées afin de faire ressortir l’aménagement souhaité par le gérant avant sa mise en place.
Création d’un espace « bureau » et un espace « techniciens » :
Suite à la stabilisation de leur application et à une présence trop importante d’utilisateurs ponctuels, des besoins se sont fait ressentir dans l’amélioration de l’expérience utilisateur.
Les objectifs de cette intervention étaient :
Préparation
3 profils se sont dégagés de nos échanges avec l’association. Nous avons donc décidé de créer un parcours par profil pour tester l’application. 3 utilisateurs ont été choisis pour chaque profil, soit un total de 9 utilisateurs.
Terrain
Une première phase d’échanges permettait de mieux cerner le profil des personnes testées. Ensuite, des missions sur l’application permettaient de vérifier l’utilisabilité et de faire ressortir les problèmes de navigation de l’application. Enfin, une phase de retours sur le parcours clôturait les tests pour revenir sur les points bloquants et les éventuelles améliorations à apporter ou fonctionnalités à ajouter pour rendre l’expérience optimale.
Traitement
L’analyse des tests a permis de faire ressortir un manque de clarté dans la promesse faite à l’utilisateur qui ne savait donc pas toujours si l’application lui était destinée ou non. Un besoin de travailler sur les personae et la promesse est apparu comme nécessaire suite à cette étude.
Pour répondre au code du travail et notamment aux décrets définissant la pénibilité (2017) avec 10 facteurs comportant chacun leurs seuils, une étude a été menée au sein de l’entreprise Nipro Pharmapackaging. Pour le facteur « Postures Pénibles », dont le seuil pour la position du torse en torsion (rotation du tronc) est fixé à 30° par rapport à la position anatomique de référence, les mesures étant compliquées, vous avez décidé de faire appel à un prestataire en ergonomie pour un poste en particulier : chargement et nettoyage des lignes de production des ampoules.
Terrain
1 journée sur le terrain a permis de recueillir les données nécessaires à l’étude. 2 salariés ayant participé à l’étude, l’ergonome a pu suivre chaque opérateur pendant une demi-journée. Le recueil de données a consisté en des prises de vidéos sous 2 angles (vue supérieure + vue à hauteur d’Homme), des mesures des temps de cycles et des verbalisations des 2 opérateurs.
Traitement
Un logiciel permettant d’évaluer les angulations a fait ressortir une rotation du tronc à plus de 30°, mais pas sur des durées suffisantes au sens de la loi pour que l’activité soit reconnue comme étant pénible. La production d’un compte rendu a donc mis en avant cette absence de pénibilité, tout en proposant des améliorations du poste pour réduire le risque de TMS pour l’opérateur.